Tout au long des années 1970, avec l'agonie de la dictature, différents groupes culturels, artistiques et politiques se sont battus pour promouvoir le changement et faire de la ville un lieu démocratique et culturellement avancé. La revendication de la langue catalane et la lutte politique et sociale dans tous les domaines s'enracinent rapidement à Gérone. Gi de Girona, qui devait remplacer Ge de Gerona, en est un exemple très graphique. Dans le même sens, Girona m'enamora était le slogan lancé par la ville à la modernité des années 80.